Aïe poète des fleurs ! Aïe ton petit jardin !
La liberté
le bonheur
dans le cœur
et les mains
et voilà mon poème
pour forcer le destin.
Et voici l´autoroute et le ciment
d´une grande vitesse
et j´oublie pourquoi et comment
et d´autres politesses
quand le vert
devient mur blanc
ou gris
et pluie
et mauvais temps
et banlieue
de ceux très nombreux
qui n´ont pas réussi
à l´école de la vie.
Et qui ne savent pas pourquoi
on devient un oubli
de la démocratie
et qui ne savent pas comment
tant de poètes
ont un jardin
et des fleurs
et dans les yeux
le soleil
et les couleurs du printemps.
Ou alors font-ils semblant ?...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire