Je commence une
nouvelle série de chroniques sans savoir où
me ménera cette quête,
de mondes improbables, de monde utopiques, qui auraient pour devise
« Liberté-Egalité-Fraternité ». Oui, je sais que c'est
du délire et qu´il y a une grande différence entre vouloir et
pouvoir ! Je sais aussi que parfois, quand certains dirigeants
veulent accélérer le processus de transformation de la société,
ils ont recours, pour avancer, à la force et à là contrainte. Ce
n´est même plus
le choix entre le bâton et la carotte, c´est carrément la trique
« pour le bien de tous les travailleurs » . Je l´avoue :
je suis contre la révolution violente ! Car c´est ainsi que
quelques fois, les mêmes
qui ont lutté pour plus de liberté, pour plus d´égalité et pour
un monde plus fraternel et qui s´opposent aux méthodes trop
autoritaires utilisées par le gouvernement «révolutionnaire»
se retrouvent, dans le meilleur des cas, dans des camps dit de
« rééducation » (avec les canailles qu´ils ont
combattu toute leur vie) et, dans le pire, devant le mur des
fusillés ! Pourtant tout le monde devrait savoir qu'en
politique, la violence n´est
jamais la bonne méthode !
Quand je dis, dans
mes écrit indignés, qu´avec la moitié de ce qu´on dépense
chaque année en frais militaires et en publicité - soit les plus
inutiles et absurdes des dépenses – on pourrait résoudre tous
les problèmes d'alimentation, d´éducation et de santé de tous
les exclus du progrès du monde, je sais que je me ridiculise face
aux personnes sérieuses. Même
mes meilleurs amis murmurent : « Il est toujours aussi
farfelu, avec ses idées, Yvan ! ». Les autres hausses
tout simplement les épaules !...
Chroniques indignées
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