Les patrons
français, du Medef, sont devenus bien plus conscients de la
nécessité de s´unir, contre leurs ennemis communs : l´Etat
et les Syndicats des travailleurs. Pour se faire entendre et pour
faire plier, si utile, ces deux entités « démagogiques »,
ils ont créé un « syndicat patronal » très fort, car
ses membres sont riches et puissants.
Les syndicats des
travailleurs (avec seulement 8% de travailleurs syndiqués),
dénoncent les fermetures d'usines en France et accusent les patrons
d´industries de délocaliser leur production dans des pays sans
protection sociale ! Laurence Parisot, la porte-parole du Medef,
vous dira, outrée par de tels propos, que
c'est faux ! Les patrons ne dorment pas la nuit, inquiets par
la montée du chômage
(mon ami Didier, qui les fréquente, me l´a confirmé donc c´est
certainement vrai). « Comment allons-nous faire pour créer de
nouveaux emplois en France si la demande de nos produits baisse? »,
se demandent les patrons. Les syndicats exigent, naturellement, des
emplois permanents, qualifiés et bien payés ? « Tel
est le désir de tous les patrons ! » répondent les
patrons : « Mais ce sont les syndicats communistes qui
nous en empêchent! ».
Notre ancien Président de la République l´avait déjà dénoncé
(Comment s´appelait-il déjà ? : Sarkophage ?
Sarkolite ?), bien que, par ailleurs, il détruisait notre
compétitivité – avant même
l´arrivée de M. Hollande ! - avec des taxes abusives. Si vous
saviez combien un patron doit, chaque matin, avant même
d´ouvrir les portes de son usine, verser à l´Etat en taxes et
impôts, vous seriez effarés. Comment
créer des emplois dans ces conditions ? ...(rires en coulisse).
Chroniques indignées II
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